Votre Photographe Portraitiste de France 2025
Le 23 mars 2025, au congrès national de la FFPMI à Toulon, j’ai eu l’immense honneur de recevoir le titre de Portraitiste de France 2025.
Ce titre, comparable à une première étoile pour un chef, incarne une exigence quotidienne. Il rappelle que dans notre métier, l’excellence n’est pas un but atteint, mais un chemin constant, semé de doutes, de persévérance et d’un amour inébranlable du métier.
En 2023, ma première tentative s’est soldée par un échec. Cet échec a ouvert une profonde remise en question : technique, artistique, humaine. Avec l’aide précieuse de ma collègue Michèle, du soutien du groupe de la FFPMI et de nombreuses formations auprès de Meilleurs Ouvriers de France, nous avons transformé nos doutes en une force tranquille.
Michèle et moi nous sommes soutenus mutuellement tout au long de ce chemin exigeant, partageant nos progrès, nos difficultés, nos remises en question. Cette belle solidarité nous a permis, chacun, d’obtenir ce titre prestigieux. Deux Portraitistes de France reconnus vous accueillent aujourd’hui AU STUDIO.
Chaque image créée aujourd’hui dans notre studio à Rueil-Malmaison porte cette exigence en héritage.
Une ode à la maternité
Dans la pénombre chaleureuse du studio, Crystale, future maman, rayonne d’une force tranquille. Drapée de tissus soyeux, elle incarne la promesse d’une nouvelle vie. La lumière que j’ai modelée autour d’elle sculpte ses courbes maternelles, révélant chaque tatouage comme un secret murmuré à l’enfant à naître. L’ombre enlace la peau tandis que la lumière, douce et pleine, embrasse son ventre rond. Sous l’arche d’une lune projetée en arrière-plan, ce portrait prend une dimension cosmique, comme si elle-même devenait une planète porteuse d’espérance.
Les premiers éclats de vie
Quelques semaines plus tard, c’est une toute autre lumière que j’ai cherchée à capter : celle de l’émerveillement brut. Deux sœurs jumelles d’à peine un an découvrent, fascinées, une bulle de savon suspendue dans l’air. Rien n’est plus beau que cet instant où la magie opère sans artifice. Ici, la lumière naturelle enveloppe doucement la scène, baignant les petites filles d’une clarté tendre, presque irréelle. La bulle, légère et fragile, devient le centre de leur univers, miroir de leur innocence.
Le regard du temps
Enfin, le temps s’arrête dans le regard apaisé d’une femme assise aux côtés d’un poisson rouge. Sous la lumière tamisée que j’ai patiemment travaillée avec des gélatines bleues, elle incarne la sagesse tranquille. La veste rouge éclatante répond à la couleur du poisson, comme un écho de vitalité dans ce tableau intemporel. Ce portrait est un hommage silencieux aux rides qui tracent les histoires et aux liens invisibles qui nous unissent, même dans le calme apparent d’une scène feutrée.
Complicité d'antan
Dans une authentique gare d’époque, les membres de la troupe Fire Brothers Company prennent la pose sous une marquise d’antan. La fumée d’une locomotive toute proche flotte encore dans l’air. Le regard d’une femme assise se perd dans l’attente. Leurs costumes, la lumière ciselée et l’ombre des structures boisées recréent la tension d’une époque où chaque départ pouvait être un adieu. Ce portrait de groupe raconte mille histoires de séparations et de retrouvailles, dans un cadre cinématographique pensé comme une scène de film.
Portrait d'artisan
Dans l’atelier du « Doc », tatoueur reconnu, j’ai voulu saisir plus que des outils : une âme. La lumière vient raser les murs blanchis, soulignant la patine du temps. Doc, tatoueur passionné, me fait face, machine à tatouer à la main, sourire franc. Les objets de son univers – guitares, encres, dessins – racontent une vie d’engagement artistique. Ici, pas de décor fabriqué : juste la vérité brute d’un créateur dans son sanctuaire.
Le couple mis en scène
Sophie et Cédric incarnent à merveille l’esprit « Peaky Blinders ». Devant mon objectif, ils jouent des regards complices et des postures affirmées. Les costumes brillants et texturés, le collier de perles détourné, les casquettes inclinées : tout évoque une époque dure et flamboyante. Un subtil retour de lumière bleutée vient déjouer les ombres, renforçant l’intensité dramatique de cette scène qui semble tout droit sortie d’un générique de série.
Traversée du rêve
Sous les néons imaginaires d’une nuit sans fin, Broceliande Nausicaa apparaît comme une créature venue d’un autre monde. Sa chevelure bleu électrique, ses vêtements scintillants, son regard mi-rêveur mi-provocateur : tout dans cette scène vaporwave évoque un futur fantasmé. La lumière, travaillée en opposition entre fonds orange saturé et reflets métalliques, crée un univers parallèle où le portrait devient presque une séquence de film de science-fiction.
Renaissance inspirée
Céline Scholler, parée d’une robe majestueuse aux teintes royales de violet et d’or, ressuscite l’élégance des portraits flamands et italiens. Sa posture sobre, son regard légèrement porté vers la lumière, évoquent ces héroïnes silencieuses peintes avec dévotion. Chaque accessoire — bijou ancien, fleurs fanées, drapé somptueux — est choisi avec soin pour ancrer ce portrait dans un dialogue respectueux entre photographie contemporaine et peinture ancienne.
Souffle royal
Aline Bérenguer se prête ici au jeu d’une relecture des fastes du XVIIIᵉ siècle. La robe jaune brodée, la coiffure monumentale, les dentelles fines s’inscrivent dans la grande tradition des portraits de cour. Mais ce qui donne vie à l’image, c’est l’éclat de son regard et la gestuelle gracieuse de ses mains, inspirée des codes picturaux de l’époque. La lumière enveloppe sa silhouette d’une douceur dorée, créant ce souffle intemporel que seule la photographie peut rendre palpable.
La "Golden Hour"
Valentine et Thomas, saisis juste au moment où la lumière d’un coucher de soleil vient caresser leurs visages, se retrouvent dans une étreinte douce et complice. Sous la chaleur dorée de la « golden hour », la nature autour d’eux se fait presque oublier : ne reste que l’évidence de leur amour, gravée dans cette lumière de miel.
Sur les chemins du passé
Lucie et Thomas, photographiés au Domaine des Hauts de Pardaillan, déambulent sur un ponton de bois encadré de toits anciens. Le choix du noir et blanc renforce l’intemporalité du lieu comme celle de leur engagement. Lui, légèrement en retrait, semble la porter du regard ; elle, radieuse, avance sans peur. Cette photo raconte l’histoire simple et puissante de deux âmes qui choisissent de marcher ensemble.
Sous l'arche du destin
Dans l’écrin romantique du Domaine de Quincampoix, Virginie et Vincent échangent un regard tendre sous une arche de pierre. Le chemin pavé, les arbres centenaires, la lumière diffuse : tout semble les bénir dans ce passage symbolique vers leur avenir commun.
Parce que votre image mérite l’excellence
Recevoir le titre de Portraitiste de France 2025 est plus qu’une reconnaissance : c’est un engagement au quotidien pour offrir des portraits porteurs d’émotions authentiques, réalisés avec un haut niveau d’exigence technique et artistique.
Chaque projet confié à AU STUDIO est accompagné de cette promesse d’excellence, portée aussi par l’obtention de la Charte Qualité Confiance délivrée par la Chambre des Métiers et de l’Artisanat (CMA). Un gage officiel de sérieux, d’écoute et de respect des normes de qualité pour tous nos clients.
Au-delà de la technique, je veille à instaurer une atmosphère de confiance, où chacun peut se sentir pleinement lui-même. Ma bienveillance, souvent saluée dans les avis Google laissés par mes clients, fait partie intégrante de mon approche : parce que pour révéler l’authenticité d’un regard, il faut d’abord savoir accueillir la personne qui le porte.
Qu’il s’agisse de portraits personnels, de séances de famille, de projets créatifs, de portraits professionnels ou de reportages de mariage, votre image mérite d’être confiée à un professionnel reconnu par ses pairs.
📍 AU STUDIO – 17 rue des Cités, 92500 Rueil-Malmaison
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